Mais au-delà de l’enquête pointilliste (et passionnante) qui permet à l’auteur d’égrener un certain nombre d’anecdotes croustillantes (la mise en place de ce travelling magique fut assez épique), Le Dormeur est une poignante méditation sur le temps. Une belle critique du Dormeur, de Didier da Silva, est à lire ici : Le journal cinéma du Dr Orlof.
Continuer à lireYann Suty a lu et aimé Le Dormeur, de Didier da Silva ; il en parle sur le site de La Cause Littéraire.
Continuer à lireSéverine Danflous (Tennessee Williams, l’écran sauvage) et Christophe Pellet évoquent l’œuvre de Tennessee Williams dans l’émission Viva cinéma, sur Ciné+, consacrée à Tennessee Williams et Hollywood.
Continuer à lireLa rencontre du 8 septembre autour de l’ouvrage Tennessee Williams, l’écran sauvage de Séverine Danflous est en ligne ici :
Continuer à lireLa fin du livre ressemble à une fête qui s’achève. Et nous y étions. Sébastien Vidal a lu et aimé Le Dormeur de Didier da Silva. Sa recension est ici : Le Souffle des mots
Continuer à lireUne recension de Critique & Université — Les lois de l’hospitalité de David Vasse, signée Cédric Lépine, est à lire ici : Mediapart : Critique de cinéma et monde universitaire : mariage forcé ou union libre ?
Continuer à lireMême si Olivier Maillart analyse plus particulièrement quelques films de quelques cinéastes abordant frontalement la question de ce que montre réellement le cinéma, c’est l’ensemble du cinéma qui est philosophiquement invoqué dans son rôle consistant à poser sans cesse de nouvelles loupes sur un quotidien pétri de fiction au plus profond de lui-même. Énigmes, cinéma d’Olivier Maillart, fait l’objet d’une belle recension sur Mediapart, par Cédric Lépine.
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