Deuxième édition, non illustrée, de David Fincher, l’obsession du mal de Juliette Goffart.
D’Alien3 à Mank, la question du mal hante le cinéma de David Fincher.
Juliette Goffart analyse la récurrence de motifs tels que l’écriture perçue comme une arme ou la propension des tueurs en série à mettre en scène leurs crimes avec un perfectionnisme radical, perfectionnisme qui n’est pas sans rappeler celui de David Fincher lui-même.
L’essai s’intéresse aussi bien à l’œuvre filmique que télévisuelle du cinéaste, cherchant ses influences dans le cinéma classique, tout en s’interrogeant sur les méthodes de travail de l’artiste.