«La lecture d’Écran Noir, écrit au présent dans un style rapide, rythmé, riche en images, a pour effet immédiat de suggérer au lecteur une pièce de théâtre. » addict-culture.com
«Ce qu’il y a de très émouvant dans Écran noir, c’est de vouloir à tout prix fixer par des mots des émotions par essence évanescentes.» Causeur
L’auteur de L’Odyssée du Jazz rend hommage au jazz et au cinéma dans Écran noir.
Un romancier est engagé par deux producteurs qui souhaitent monter un projet cinématographique autour d’une chanteuse de jazz légendaire : Loretta McCullers.
Face aux exigences et aux comportements chaotiques des commanditaires, l’écriture du scénario s’avère rapidement plus difficile que prévu, loin des illusions candides de l’auteur.
Ce récit, teinté de notes bleues et d’images en noir et blanc, nous immerge sans filtre dans les relations parfois complexes que le monde du cinéma entretient avec la création artistique. C’est aussi l’occasion pour Noël Balen de rendre hommage au film de jazz.
©Alain Chene[/caption]
Noël Balen est né au XXème siècle. Selon toute logique, il mourra au cours du XXIème siècle. Il grandit avec deux certitudes : ce qu’il veut faire plus tard – de la musique et des livres – et ce qu’il ne veut pas faire plus tard – le reste.
Son itinéraire musical le conduit dans l’ombre des studios d’enregistrement comme bassiste et contrebassiste, puis en tant que réalisateur et producteur.
Il a publié plus d’une quarantaine de romans, nouvelles, essais et biographies. Il y parle de nuits d’orage, de jazzmen héroïques, de la douceur du vin, de gitans célestes, de solitaires égarés et de regards croisés, de festins luxurieux et de destins lumineux. Il envisage, un jour prochain, de parler un peu de lui.
